E V E I L

IIII. LA THÉRAPIE SÉQUENTIELLE réparatrice des DÉPHASAGES

III. LA THÉRAPIE SÉQUENTIELLE réparatrice des DÉPHASAGES

On le voit dans la définition d’un système énergétique, la méthode de soins ne peut être qu’un procédé qui tient compte du TEMPS : la “thérapie séquentielle”. Il s’agit de retrouver quelles agressions ou chocs ont pu DÉPHASER l’énergie vitale, pour ensuite la remettre en phase ou en fréquence, comme un récepteur radio pour rétablir la réception.
Notre vie n’est qu’une longue succession d’interférences énergétiques qui perturbent notre énergie vitale, jusqu’à l’interrompre définitivement (la mort).

TRAITEMENTS ÉGALISATEURS.
Selon le principe ondulatoire physique, 2 lois peuvent être énoncées :

LOI 1 ÉNERGÉTIQUE
LE TRAITEMENT DEVRA EFFACER LES TRACES DE CES CHOCS DANS LE MÊME ORDRE SÉQUENTIEL, MAIS EN SENS INVERSE DE LEUR APPARITION (temps) EN REDONNANT DES CHOCS IDENTIQUES ( ISO-) MAIS EN SENS CONTRAIRE (espace).

LOI 2 ÉNERGÉTIQUE
SI L’ORDRE INVERSE N’EST PAS RESPECTÉ, L’ONDULATION SERA CERTES MODIFIÉE MAIS RISQUE D’ ÊTRE ENCORE PLUS PERTURBÉE QU’AVANT L’INTERVENTION RÉPARATRICE, DONC RENDRA LA GUÉRISON DE PLUS EN PLUS DIFFICILE À ORCHESTRER.

Seule une volée successive de coups de médicaments homéopathiques, voir isopathiques, véritables bombes immatérielles, peut répondre à ce rétablissement orchestré dans le temps. Homéo- signifie semblable, iso- signifie identique.

Pourquoi seulement des médicaments homéopathiques ?
Parce que comme l’expliquera le chapitre “ NOTION DE BASE DU PRINCIPE HOMÉOPATHIQUE”, l’action homéopathique a justement cet effet correcteur :
par une substance aux effets semblables (homéo) ou IDENTIQUES (iso) à la NATURE du choc et un dosage précis pour ajuster L’INTENSITÉ du choc correcteur.

Imaginons deux élastiques tendus côte à côte en ondulation parallèle : si l’une d’elles est désynchronisée par un choc, son ondulation va garder une trace qui subsistera dans le temps. Il faudra donner un nouveau choc bien en phase pour supprimer le déphasage.

Un isotope permettra un choc égalisateur parfaitement identique (Scarlatinum pour annihiler les distorsions causées par la scarlatine). Si le remède n’est pas parfaitement identique, c‘est de l’homéopathie, moins parfaite mais très efficace, qui permettra l’égalisation.
La dynamisation du médicament permettra d’ajuster la profondeur exacte du tir.
Si la déflagration rétrograde coïncide exactement avec celle du passé, on aura mis en plein dans le mille. Sinon, il faudra affiner le tir par un dosage plus pénétrant (haute voire très haute dynamisation).

DANGERS !
En cas de non-respect de l’ordre séquentiel, si on tire sur une déformation inscrite avant la dernière, on déformera l’ondulation, mais on ne la ramènera pas dans sa forme précédente, et la procédure de réparation sera de plus en plus difficile à retrouver.

Traitements spaciaux et auto-médication:
Les traitements de chocs hasardeux opérés par les homéopathes “spatiaux” ne respectant pas d’ordre séquentiel sont lourds de conséquences, parce qu'ils vont déformer l'ondulation vitale en un chaos anarchique, dont il sera difficile d'établir par la suite la chronologie et encore plus difficilement la séquence retro-corrective des dégats iatrogènes.

LA TECHNIQUE D'ISOTHÉRAPIE SÉQUENTIELLE

contre un effet secondaire suspecté de séquelles de maladies et de vaccins incriminés.

S’appuyant sur les principes énergétiques énoncés ci-dessus, la technique d'isothérapie séquentielle a été largement diffusée par un médecin suisse, le docteur Elmiger, (72e médecin d’une longue lignée familiale) depuis les années soixante-dix. (Voir sa publication La médecine retrouvée).

Elle consiste à réparer, l’un après l’autre, les déphasages causés par des chocs iatrogènes (iatroï , medici, en grec signifie médecin) ou infectieux :
- administrer une dilution homéopathique (isothérapiques) du ou des vaccins ou toxines incriminés devant un effet secondaire suspecté,
- à des concentrations de plus en plus faibles, selon la technique de dynamisation de Korsakov,
- et dans l'ordre inverse où les vaccinations ont été reçues, ou les maladies contractées, en remontant le temps, de la vaccination ou maladie la plus récente à la vaccination ou maladie la plus ancienne, jusqu’à retrouver la synchronisation originelle à la naissance.

Cette notion rejoint cette fameuse loi de Hering qui a déjà été formulée, quoique encore d'une façon incomplète, par Samuel Hahnemann, sous la plume duquel on peut lire dans sa deuxième édition des "Maladies chroniques" parue en 1846, à propos de la Psore, où il cite surtout l'ordre de disparition des symptômes au cours d'un traitement homéopathique :
"Dans la thérapeutique méthodique et homéopathique de la diathèse psorique, on observe, lorsqu'elle n'a pas été modifiée ou camouflée par des traitements allopathiques, que les derniers symptômes apparus, c'est-à-dire les plus récents, sont aussi les premiers à disparaître, tandis que les symptômes les plus anciens et les plus tenaces, comprenant surtout des affections locales persistantes, ne s'effacent que vers la fin, après disparition seulement des autres manifestations morbides et que tout le reste annonce le retour à la santé."

Concernant les isothérapiques de vaccin, les dilutions korsakoviennes sont disponibles dans toutes les pharmacies depuis mars 1997, à part quelques souches qui l'étaient déjà depuis 1983 :
iso vaccin du DTP (diphtérie-tétanos-poliomyélite),
iso vaccin du DTCP et du Tétracoq (DTP associé à coqueluche),

iso vaccin Engerix B et Genhevac B (vaccins de l'hépatite B),
iso vaccin ROR (rougeole-oreillons-rubéole).
Plusieurs protocoles thérapeutiques sont possibles, en fonction de l'ancienneté du vaccin et des troubles pathologiques, et en fonction du patient et du vaccin en cause.

ATTENTION !
Ne donner qu’un seul isothérapique qui semble correspondre à la cause probable et principale des troubles de la santé d’un malade serait une très grave erreur. En effet, la déformation spatio-temporelle amenée par un choc provoque une déformation différente selon les déformations déjà empreintes dans le système ondulatoire.

IL FAUT TOUT RÉPARER ET DANS LE MÊME ORDRE QUE LES CHOCS SONT SURVENUS.
On imagine l’extrême importance d’établir très méthodiquement l’ANAMNÈSE de chaque patient, qui permettra d’établir le planning d’administration des soins. D'ailleurs lorsqu'une thérapie chronologique échoue ou ne permet plus de faire évoluer durablement l'état de santé d'un malade, le Dr Elmiger réinterroge celui-ci sur l'époque correspondante au dernier choc corrigé jusqu'à découvrir un évènement ayant laissé une trace, qui aurait été omis dans l'anamnèse donc dans la chronologie thérapeutique.

L'isothérapie séquentielle est donc une modalité du mode de prescription des produits homéopathiques qui suit les mêmes règles de fabrication, de délivrance et d'administration que l'ensemble des remèdes homéopathiques. (Voir chapitre X : LOI DE L’ ORDRE SÉQUENTIEL)

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