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ASSOCIATION EVEIL POUR UN BIEN ETRE AU QUOTIDIEN

V L’HOMÉOPATHIE COMPRISE, BASÉE SUR DES PRINCIPES ÉNERGÉTIQUES

 V L’HOMÉOPATHIE COMPRISE, BASÉE SUR DES PRINCIPES ÉNERGÉTIQUES

... pour une guérison rétroactive

  1. A) LES NOTIONS DE TERRAINS

 importantes pour la méthode rétro-séquentielle - les 4 terrains souche ou diathèses - les perturbations vaccinales du terrain - les traces des événements “santé”

Les terrains (énergétiques) sur lesquels évolue notre organisme constituent l’ensemble des prédispositions personnelles à l’évolution pathologique de notre organisme : elles sont d’origine
- soit héréditaire, ou génétique, transmises selon l’origine et le parcours infectieux de nos ancêtres (énergies ancestrales chinoises),
- soit pathologique, suite aux maladies contractées durant la vie, 

- soit vaccinale, artificiellement implantées par des vaccinations répétitives, amenant nos organismes à se manifester non plus selon des épidémies morbides ouvertes externes, genre tuberculose ou syphilis, mais plus sous-jacentes, de type rhumatismal ou tumoral.

- L’immunologie sollicite nos organismes, souvent jusqu’à les dérégler par la présence permanente de toxines. Ainsi on pourra parfois identifier certains symptômes permettant d'établir des analogies avec certaines maladies, sans que celles-ci soient franchement déclarées, mais manifestées dans l’organisme par la vaccination à effets durables (maladie auto-immune ou auto-sensibilisation).

Les 4 terrains souche ou diathèses (diathèse signifie “disposition”) sont :

  1. La psore ou gale, aujourd’hui appelée diathèse neuro-arthritique ou encore allergies, décrite par HAHNEMANN :
    maladie éliminant par la peau les déchets résultant du mauvais fonctionnement des organes internes.
    (Donnons ici cette illustration "moderne" d'un dysfonctionnement externe dû à un mal interne : une forte prise d'antibiotique engendre une candidose due à la présence de CANDIDA ALBIANS dans l'intestin grêle, engendre le percement par les racines des candidas de la paroi intestinale, engendre le passage de substances alimentaires incomplètement digérées dans la lymphe via les cellules lymphatiques dont est constitué le grêle, puis véhiculées par le sang vers la peau qui les élimine sous la forme d'un urticaire allergique).

Peau croûteuse ou criblée de pustules en pathologie externe, qui soignée par des toxines efficaces mais refoulantes, se paye par l’apparition de pathologies internes, comme les crise d’asthme ou de goutte ou de malaise digestif interne.
- C’est la grande LOI de la balance entre les maux internes et les maux externe, de l’ aggravation des uns par l’amélioration des autres.
HERING a complété cette règle : puisque le mal est dû à un refoulement vers l’ intérieur, la guérison doit résulter du mouvement inverse. Il composa le remède clé qui est le biothérapique PSORINUM.

Préparé à partir de raclures de peaux galeuses (externes), il guérit avec une facilité stupéfiante les catarrhes chroniques, les rhumatisants, les colitiques, les atrabilaires et autres congestionnés (internes).

Les homéopathes attribuent à Psorinum la fonction de déclencheur bioénergétique, sorte de signal générique apte à provoquer chez tout individu prédisposé un ensemble de réactions d’adaptations caractéristiques. Cette réaction est liée au code génétique.

  1. Le tuberculinisme
    qui affecte le duodénum, les poumons, les reins, les os et le système nerveux
    et dont la clé est le nosode TUBERCULINUM, véritable nosode préparé à partir de l’agent causal, le bacille découvert par le Dr Koch en 1882. Si les antibiotiques combattent efficacement ses effets, ce nosode obtient le bannissement définitif de la récidive.
    D’autres nosodes préparés à partir d’autres souches virulentes complètent la pharmacopée homéopathique.
  2. La sycose ou hérédo-blennoragie,
    maladie des excroissances cutanées, et des muqueuses, également caractérisée par le refoulement d’une maladie externe contrariée vers l’intérieur : la blennorragie, maladie vénérienne purulente très répandue au XIXe siècle et difficilement curable, dont la clé est le biothérapique MÉDORRHINUM (écoulements parties génitales) qui guérit les verrues, condylomes, tumeurs diverses, irritations chroniques des muqueuses, conjonctivites chroniques et écoulements urogénitaux.
    Ce terrain réagit mal aux vaccinations. C‘est un facteur de cancérination.
  3. Le luetisme ou syphilis (chair liquéfiée),
    maladie évoluant aussi de l'intérieur vers l’extérieur, sous forme d’ulcérations externes, chancres ulcérés autrefois cautérisés par les médicastres, qui en bouchant une précieuse issue vers l'extérieur, faisaient naître des maladies neurologiques, douleurs osseuses, maladies vasculaires, rénales, chroniques du rhino-pharynx, etc...
    dont la clé est le biothérapique LUESINUM ou syphilinum.

 

4 grands terrains, 4 grands remèdes.
Il devient souvent difficile de reconnaître des symptômes révélant exclusivement UN seul terrain génétique.

Les 4 diathèses.
En fait, Le Dr ELMIGER a démontré qu’à l’origine, nous sommes tous porteurs des 4 diathèses, résultat de l’évolution de l’espèce humaine.
Certains homéopathes administrent donc successivement les 4 biothérapiques à chaque malade traité, parce que nous portons dans notre code génétique les 4 prédispositions à l’évolution de ces terrains.
Souvent l’administration d’un seul biothérapique (Psorinum) influence déjà favorablement les symptômes correspondant aux autres terrains.

Les perturbations vaccinales du terrain.
On peut penser que de nombreuses maladies chroniques sont induites par les vaccinations administrées dès le plus jeune âge aux enfants.

(Exemple : la tuberculose se manifeste par l’adénopathie* cervicale. On peut imaginer que la présence permanente des toxines du bacille de Koch peut entraîner des dysfonctionnements ganglionnaires).

On observe alors des terrains pluriels et parfois profondément perturbés. (Voir chapitre spécial sur ce sujet).
La méthode ohmmétrique permet de révéler qu’un vaccin peut occasionner un barrage sur un MÉRIDIEN et modifier profondément la circulation de l’énergie vitale, donc l’équilibre du terrain. (Voir chapitre Vaccinations)

Les TRACES laissées au terrain par les ÉVÉNEMENTS “santé”.


Les ÉVÉNEMENTS.
L'énergie vitale, dès la naissance, est soumise à de très nombreux impacts énergétiques (les énergies "perverses" de la médecine chinoise ancienne), dont la plupart cependant ne portent pas à conséquence.
Pour accéder au statut d'"événement", il faut que l'impact pervers, véritable choc, se signale par une trace durable.


LES TRACES sont de deux natures :
Les traces matérielles, relatives au corps physique du patient.
Les traces immatérielles, de loin les plus importantes, ne peuvent se percevoir que sur le corps immatériel, le "corps énergétique" des médecines traditionnelles. 

Leur repérage est délicat, car il met en oeuvre des techniques de détection fines, dans lesquelles intervient également la sensibilité de l'opérateur :

  • test à l'ohmmètre de Voll,
  • pouls traditionnels chinois,
  • pouls de Nogier,
  • radiesthésie,
  • tests kinésiologiques,
  • tests ostéopathiques, etc...

Suivant la sensibilité du médecin, le résultat du repérage sera très variable, donc aussi le succès de la thérapie.


Sont réputés importants les événements qui se signalent par une trace durable, qui affecte souvent à la fois le corps physique et le corps immatériel. Ils ne sont pas très nombreux.
Les plus importants, au nombre de trois, se retrouvent dans la quasi-totalité des anamnèses actuelles (anamnèse = histoire du malade). Ce sont :

  • - Le blocage ostéopathique des charnières crâniennes, consécutif à l'accouchement hyper médicalisé (horizontalité contre-nature, déclenchement artificiel...).
  • - La sur-vaccination précoce, survenant sur un système immunitaire immature.
  • - La suppression des exercices immunitaires naturels (les maladies infantiles), stoppés avec brusquerie par des traitements trop énergiques et/ou remplacés par une immunité vaccinale trop artificielle.
  • Cette triade spécifique de la médecine actuelle porte à elle seule la plus lourde responsabilité dans la genèse des maladies chroniques.

 

Les TRACES.
Les " événements santé ", les conflits auxquels nous avons survécu n'ont pas la même importance dans notre "mémoire énergétique". 

Plus une maladie est aiguë, vite réglée en quelques jours de fièvre et vite guérie sans séquelles, moins elle va laisser de trace.
Plus une maladie est chronique, longue, traînante, difficile à guérir, consomptive, récidivante, plus elle va laisser une trace profonde, importante, et nécessiter une forte énergie pour le contrôle de l'agresseur. Une grippe, un rhume ne vont pas laisser la même trace qu'une tuberculose ou qu'une hépatite.
Le point extrême de la gravité de la trace laissée par une maladie, c'est la fabrication des ANTICORPS. Là, pour la survie, l'organisme a figé l'information dans la matière, il ne pourra plus y revenir. 

Différents stades de gravité existent encore dans la fabrication de ces catastrophiques anticorps, qui représentent presque le bout de la chaîne de l'information vivante. Les anticorps ne sont plus vivants, ils sont morts et représentent en quelque sorte le stade juste avant la mort. L'immunologie montre que leur structure rigide, leur production et leur action difficile à contrôler conduisent parfois aux maladies auto-immunes. Exemple : l'examen des urines d'un malade atteint de sclérose en plaque révèle la présence très importante d'anticorps, d'où la quasi impossibilité de rétrograder cette maladie.

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