Corps Bouddhique (10/21)
Sagesse, compassion et guidance intérieure – Connexion à la conscience unitaire et aux champs géométriques de Gaïa
🔎 Introduction
Le corps bouddhique est le dixième corps subtil de l'être humain.
Il marque l'entrée dans les plans supérieurs de l'âme , au-delà de la personnalité (physique, éthérique, astrale, mentale, causale).
Il est traditionnellement décrit comme le siège de la sagesse, de la compassion et de l'intuition directe .
Il repose la conscience humaine à une perception unitaire de la réalité, où les dualités (bien/mal, plaisir/souffrance) sont transcendées dans une vision globale.
Sur le plan énergétique, le corps bouddhique est associé à des structures géométriques universelles et planétaires :
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Merkabah : véhicule de lumière et de conscience multidimensionnelle.
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Torus : champ toroïdal de cohérence universelle, également observé dans le champ énergétique terrestre.
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Fahoky : système de circulation énergétique subtil, apparenté aux flux cosmo-telluriques.
1. Fonction énergétique et spirituelle du corps bouddhique
1.1 Sagesse et compassion
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Le corps bouddhique porte la compassion universelle , au-delà des attachements personnels.
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Il permet d'accéder à une guidance intérieure , non par raisonnement, mais par intuition immédiate.
1.2 Perception unitaire
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Dans ce champ, la conscience perçoit la réalité comme un continuum indissociable .
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Les oppositions (moi/autre, passé/futur) s’effacent au profit du moment présent élargi.
1.3 Intégration des expériences
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Le corps bouddhique transforme les mémoires du corps causal en enseignements de sagesse.
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Il agit comme une alchimie spirituelle : la souffrance transmutée devient compassion et compréhension.
2. Liens avec Gaïa
2.1 Champ toroïdal terrestre
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La Terre possède un champ magnétique toroïdal qui entoure et pénètre toute sa structure.
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Le corps bouddhique est en résonance avec ce champ, fonctionnant comme une antenne toroïdale humaine.
2.2 Résonance avec la conscience planétaire
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Les expériences de compassion et d’unité activent une cohérence cardiaque qui s’accorde avec le champ terrestre.
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Le corps bouddhique établit un lien direct entre le cœur humain et le cœur de Gaïa.
2.3 Sites sacrés et géométries naturelles
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Les lieux géométriques (sites mégalithiques, montagnes sacrées, vortex planétaires) amplifient le champ bouddhique.
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Ces lieux fonctionnent comme des nœuds toroïdaux de la conscience terrestre.
3. Hypothèses scientifiques fondées
3.1 Cohérence cardiaque et compassion
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Les recherches de l’Institut HeartMath montrent que la compassion et la gratitude induisent une cohérence entre le cœur, le cerveau et le champ électromagnétique terrestre.
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Le corps bouddhique pourrait être la couche subtile où cette cohérence est perçue et amplifiée.
3.2 Géométrie toroïdale
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La physique et la biologie révèlent que de nombreux systèmes (galaxies, champs magnétiques, flux biologiques) suivent des structures toroïdales.
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Le corps bouddhique serait l’expression humaine de cette géométrie universelle.
3.3 Merkabah et champs de conscience
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La Merkabah est décrite comme un véhicule de lumière permettant d’accéder à d’autres dimensions.
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Elle peut être rapprochée des théories holographiques (Bohm) et de l’hypothèse que la conscience agit comme un champ non local.
3.4 Neurosciences contemplatives
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Des études sur les méditants bouddhistes montrent une augmentation des ondes gamma (40 Hz et plus) lors de méditations de compassion.
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Cela pourrait correspondre à l’activation du champ bouddhique.
4. Dimension systémique
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Causal (9) : conserve les mémoires karmiques et expériences passées.
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Bouddhique (10) : transmute ces mémoires en sagesse et compassion.
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Atmique (11) : active la volonté divine et l’orientation spirituelle.
👉Le corps bouddhique est donc le point d'alchimie entre mémoire (causal) et direction (atmique), unifiant le passé et l'avenir dans une conscience présente élargie .
📊 Conclusion
Le corps bouddhique (10/21) est le plan subtil de la sagesse, de la compassion et de l'unité intérieure .
Il agit comme :
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un transformateur de mémoires karmiques en enseignements lumineux,
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un champ de cohérence toroïdal en résonance avec celui de la Terre,
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et une porte de la conscience unitaire , où l'homme se reconnaît comme partie intégrante de Gaïa et du cosmos.
Les hypothèses scientifiques crédibles associées à ce corps à :
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la cardiaque et émotionnelle ,
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les structures toroïdales et holographiques du vivant,
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et les états contemplatifs de compassion étudiés en neurosciences.
Ainsi, le corps bouddhique est la preuve que l'évolution humaine ne se limite pas à l'individuel : elle s'inscrit dans une intelligence planétaire et universelle , où l'homme et Gaïa co-créent un champ de sagesse et de lumière.