Corps Monadique (12/21)

Unité avec l'Être profond – Connexion à l'essence éternelle et à la conscience universelle de Gaïa

🔎 Introduction

Le corps monadique est le douzième corps subtil, situé au-delà du bouddhique (sagesse, compassion) et de l'atmique (volonté divine).
Il est souvent considéré comme le siège de l'essence éternelle de l'être , là où l'âme individuelle rejoint la Monade : l'étincelle originelle, la source immuable de conscience.

Ce champ marque l'accès à une unité absolue avec le Soi supérieur, mais aussi avec la conscience collective de l'humanité et la conscience planétaire de Gaïa .
La monadique révèle que l'individu n'est pas une entité séparée, mais une expression d'un tout indivisible .

1. Fonction énergétique et spirituelle

1.1 Unité avec l'Être profond

• La monadique est la racine spirituelle : il repose chaque être à sa source intemporelle.

• Ici, la dualité entre « je » et « le reste » disparaît : la conscience expérimente l'unité universelle .

1.2 Essence éternelle

• Contrairement au causal (mémoire) et à l'atmique (direction), la monadique n'est pas un champ de processus, mais un champ d'essence .

• Il porte l'empreinte immuable de la véritable identité spirituelle.

1.3 Union des polarités

• Dans le monadique, toutes les polarités (masculin/féminin, matière/esprit, Terre/Ciel) sont réconciliées.

• Il agit comme un champ de réintégration.

2. Liens avec Gaïa

2.1 Monade planétaire

• Gaïa elle-même est considérée comme une entité consciente, avec sa propre monade.

• Le corps monadique humain se relie à la monade de Gaïa, créant une résonance entre l’individu et la Terre vivante.

2.2 Unité avec les règnes de la nature

• Dans ce plan, l’humain ressent son interconnexion avec les règnes minéral, végétal, animal.

• Le monadique exprime l’unité organique de la biosphère.

2.3 Champ de conscience universelle

• Le corps monadique permet l’accès à la noosphère évolutive (Teilhard de Chardin), élargie à la dimension cosmique.

• L’individu devient un neurone conscient de l’esprit planétaire et universel.

3. Hypothèses scientifiques fondées

3.1 Théorie du champ unifié

• Les physiciens (Einstein, puis Laszlo) postulent un champ unifié d’information reliant toute matière et conscience.

• Le corps monadique serait l’interface humaine de ce champ.

3.2 Non-localité quantique

• La mécanique quantique a prouvé que deux particules peuvent rester corrélées à distance (intrication).

• Le monadique manifesterait cette non-localité de la conscience, où tout est relié instantanément.

3.3 Neurosciences de l’unité

• Les études sur les méditants avancés montrent une diminution de l’activité du réseau du « moi » (default mode network) lors d’expériences d’unité.

• Cela correspondrait à l’activation du champ monadique.

3.4 Hypothèse Gaïa et intelligence collective

• Si la Terre est un organisme vivant (Lovelock), alors le monadique permet à l’humain de participer à sa conscience intégrée.

• Les synchronisations collectives (pratiques mondiales de méditation, résonances globales) en seraient des manifestations.

4. Dimension systémique

• Causal (9) : mémoire karmique, passé.

• Bouddhique (10) : sagesse et compassion, transmutation.

• Atmique (11) : volonté divine, orientation future.

• Monadique (12) : essence intemporelle, unité absolue.

👉 Le monadique est le point de convergence où passé, présent et futur disparaissent dans une présence unifiée.

📊 Conclusion

Le corps monadique (12/21) est le plan de l' unité avec l'Être profond , la connexion à l'essence éternelle et la fusion avec la conscience de Gaïa .
Il ne traite pas d'expériences, mais d' identité spirituelle fondamentale .

Scientifiquement, on peut le rapprocher de :

• la non-localité quantique ,

• les théories du champ unifié ,

• les états de conscience d'unité étudiée en neurosciences,

• et l' hypothèse Gaïa comme organisme conscient.

Le corps monadique révèle que nous ne sommes pas simplement des individus séparés, mais des cellules de l'Être planétaire et cosmique .
Il est la porte vers la compréhension que l'humanité et Gaïa partagent une même essence éternelle .